La Direction : Braquage des roues

Commençons à voir comment le conducteur peut faire suivre, à son automobile, une trajectoire donnée, rectiligne ou curviligne. Examinons des dispositifs mécaniques parmi les plus diffusés sur les automobiles et rendant possible cette manœuvre.


Est-il besoin de rappeler, qu’assis sur une bicyclette, on vire à droite en dirigeant la roue avant vers ce côté, au moyen du guidon.



L’automobiliste utilise le même principe que le cycliste, mais il y a, cette fois, deux roues avant à braquer vers la droite ou vers la gauche.



Il faut les entraîner dans ce mouvement à l’aide du volant que le conducteur tient dans ses mains.

Chaque roue avant est attachée à une fusée pivotant autour d’un axe sensiblement vertical.

Des biellettes agissent sur cette fusée. Le mouvement de ces biellettes est commandé par le mécanisme de direction.


Une direction traditionnelle à deux roues directrices comporte :

- le volant et l’axe du volant (ou colonne de direction),
- le boîtier de direction chargé de transformer un mouvement de rotation du volant en mouvement de translation,
- le bras de commande et d’accouplement qui peut être une crémaillère,
- les biellettes assurant la liaison entre la partie suspendue et la partie non suspendue du train directeur,
- les porte-fusées des roues directrices qui tournent autour d’un axe proche de la verticale.


Rubrique : La Direction.

20749 lectures - Dernière mise à jour le lundi 11 juin 2007







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